La Veuve Becker


Marie-Alexandrine Petitjean, veuve Becker (1879-1942), onze victimes : dix femmes et un homme. Henry-Désiré Landru (1869-1922), onze victimes : dix femmes et un homme. À quelques années près, ils sont contemporains. Leur parcours criminel est identique. Ils sont sociables, s'y entendent pour attirer leurs proies avant de les tuer, raflant leurs biens pour faire bonne mesure. Tous deux furent condamnés à la peine capitale. Au départ elle était attachante, cette petite Marie qui, aidée par le curé de son village, avait apprit à lire, à écrire, à compter. Tout cela avant d'arriver à 16 ans en ville, où elle veut apprendre le métier de couturière. Là, elle montre qu'elle a des dons, du charme, qu'elle est intelligente et en plus gentille. Rapidement elle prend la vie par tous les bouts, d'un tempérament de feu, elle se consacre le jour à son travail, la nuit aux plaisirs et aux hommes. La cinquantaine venue, où trouva-t-elle l'idée de verser de la digitaline homicide dans un thé " au goût si amer "? Ce livre essaie de comprendre et de plonger dans la personnalité trouble de cette femme si " normale "...

Mon avis : ce livre m'a été donné par ma mère pour que je puisse le lire avant qu'on ne le donne. Autant j'aime ce genre de livre, surtout sur les sérials-killers, mais j'avoue mettre ennuyé devant celui là.
Au final, on sait très peu de chose sur elle, peut être à cause de l'époque et du peu d'archives sur le procès et sur sa vie. On sait juste qu'elle était mariée, qu'elle avait plein d'amants, et qu'elle a tué des femmes pour avoir de l'argent.
Rien de bien passionnant, sauf pour la première empoisonneuse de l'histoire. Personnellement, j'ai pas finis le livre, justement à cause de l'ennuie qu'on peut avoir en lisant ce livre. La femme qui l'a écrit, à ce que j'ai compris, est spécialisé dans ce genre de livre. Je pense qu'elle devrait arrêté, car elle n'arrive pas à donner de l’intérêt pour cette femme, ni même pour la motivation qui la dominait pour tué des gens. On ressent aucunes empathie, aucune haine. En fait, je crois que c'est ca le plus gros problème, on ressent rien. Ni pour ses victimes, ni pour elle.

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